ÉPIDÉMIE DE BÊTISE
Depuis le début de ‘l’épidémie’, à aucun moment le coronavirus s’est avéré plus dangereux que celui d’une grippe saisonnière.
Cet article de l’OMS, de 2017, explique que la grippe saisonnière fait en moyenne 600 000 morts par an dans le monde.
Cela relativise beaucoup les dégâts potentiels du coronavirus d’après ce que nous savons jusqu’à présent.
Les affections respiratoires dont il est question dans l’article viennent sans doute surtout de la pollution, la grippe n’étant que le ‘final’ de la maladie.
Pourquoi affoler la population et confiner tout le monde, alors que les actions devraient seulement se centrer sur les personnes à risque ? Au lieu de guérir
on rend malade toute une population et un pays en mettant à mal son économie et en obligeant les gens à ne pas bouger. Il est même impossible depuis Paris d’aller en forêt
pour cueillir des plantes médicinales et respirer de l’air pur. Des CRS sont placés dans les gares SNCF refoulant ceux qui comme moi vont régulièrement en forêt
(j’en ai fait l’expérience), et on m’a dit que des panneaux interdisaient de rentrer en forêt sous peine d’amende. Au lieu de favoriser la solidarité, on rend les gens méfiants les uns des autres.
On est dans un monde dirigé par des fous, avec une population
en grande majorité de moutons… À force de crier au loup, on n’écoutera pas quand il y aura de vrais problèmes. Il y en a déjà beaucoup, comme le nucléaire qui peut exploser
à n’importe quel moment, les pollutions de l’eau, de l’air… qui font des dizaines de milliers de morts en France chaque année, etc.
Voir par exemple cet article.
Même les téléphones portables et les ondes électromagnétiques représentent un problème sanitaire dont on est très loin d’avoir pris la mesure.
Il est impressionnant de constater comment un seul discours, une seule vision sont propagés partout et par presque tous.
La France est pourtant le pays de la thèse, antithèse et synthèse. Mais là, une seule thèse, et
ceux que l'on entend protester veulent encore plus de confinement, et des mesures que l'on peut considérer
comme liberticides vue la fausse gravité de cette épidémie. On peut dire que l'on assiste à une sorte
d'hystérie collective. L'être humain semble avoir perdu le sens commun, le sens de
la mesure : de qui il est, de sa place dans l'univers, etc. C'est pour cette raison que
j'ai appelé mon site, en 2007, « La Mesure de l'Excellence ».
On voit que les gouvernements peuvent agir s’ils le veulent… et même
en véritables fascistes…
Pourtant on ne fait rien face au désastre environnemental provoqué par l’être humain, ou vraiment pas grand-chose…
tout en favorisant des pratiques polluantes.
La bétonisation du monde dont je parle
dans ce livre n’est qu’une toute petite partie de cette horreur.
Publié
le 21 mars 2020 par LM
Dernièrement, je suis allé acheter de la nourriture dans une épicerie bio.
Tous les vendeurs étaient masqués, avec des gants, et dès qu’un client laissait son chariot, on désinfectait
les parties qu’il avait touchées… tout cela à cause du coronavirus. Le combat contre celui-ci est dans le prolongement
de celui que l’homme a engagé depuis longtemps contre la nature. Il accepte celle-ci que si elle est encadrée, et se parque
dans le béton, le bitume, l’acier et des rêves dématérialisés. On javellise et désinfecte à
outrance par peur du naturel. Pourtant, notre corps lui-même est rempli de ces choses que l’on honnit : de l’urine,
des excréments, des bactéries innombrables sans lesquelles il ne pourrait vivre, et une infinité d’autres organismes vivants.
Nous ne pouvons vivre sans la nature, et l’infinité des êtres qui la constituent. Ce n’est pas en désinfectant
le monde entier que l’on fera du monde un paradis… tout au contraire…. Si, dans la nature, on trouve des maladies, on y
découvre aussi les remèdes contre celles-ci.
Une grande partie des êtres humains, en tout cas celle que l’on entend et voit le plus, semble avoir perdu son sens commun. On combat
le coranavirus comme s’il s’agissait de la peste, ou de la grippe espagnole qui a fait en 1918-1919 des millions de morts
dans le monde.
Ce qui est étrange aussi, c’est cette propension à dramatiser. Les médias et les politiques amplifient largement
le phénomène, noyant la population sous des informations aux titres effrayants, des informations parfois fausses.
Dire la vérité est toujours nécessaire, mais affoler n’a jamais rien résolu, et faire peur
n’est pas un moyen de guérison. Au contraire, la panique produit d’autres pathologies, de même que
le confinement bien sûr qui est un véritable problème hygiénique.
Mais qui se soucie véritablement de l’hygiène aujourd’hui ? Dans mon quartier, la plupart des nouveaux restaurants
se spécialisent dans les hambourgeois comme disent les Québécois (hamburger en anglais). Chaque être humain
en ville est à l’origine d’une quantité hebdomadaire impressionnante de déchets de toutes sortes, en particulier
de plastiques. On pollue, bétonne, goudronne. On remplit l’air d’ondes électromagnétiques,
de nanoparticules, de produits chimiques, jusqu’à notre ciel devenu une véritable poubelle à satellites.
Quand je vais me promener dans la forêt en région parisienne, il m’arrive de ne croiser personne pendant une heure
ou deux. Tant mieux pour les animaux sauvages qui sont ainsi moins dérangés, mais cela montre à quel point
la nature est très éloignée de l’univers de beaucoup de citadins, qui vivent dans une atmosphère
vraiment très polluée, et plébiscitent même cette pollution avec leur téléphone portable
accroché à leur main, leur voiture et la multitude d’habitudes de consommation qui consomment littéralement
les ressources naturelles.
Le coranavirus nous montre ce que peut être une hystérie collective, au niveau mondial, et permet d’imaginer ce
que pourrait être cette hystérie face à un danger beaucoup plus grand. Il s’agit d’une véritable vague
dans laquelle presque tout un chacun est emporté. Plus on se débat, plus on s’y noie.
Cet épisode est exemplaire aussi car, pour la première fois peut-être depuis la seconde guerre mondiale, l’Occident s’appuie ouvertement sur la
manière d’agir d’une dictature (la République populaire de Chine) pour en faire une façon de fonctionner
mondiale, qui consiste tout bonnement en la suppression des libertés.
Pour finir, bien sûr, une pensée pour tous ceux qui souffrent ou meurent dans le monde.
Publié
le 27 mars 2020 par LM
ÉVOLUTION DE L’ÊTRE HUMAIN
Je rappelle que, comme pour la grippe saisonnière, le coronavirus
est mortel avant tout pour les gens fragilisés et les personnes âgées.
Depuis le début de cette épidémie et jusqu’à présent, plus de 90 % des personnes
décédées du coronavirus sont âgées de plus de 65 ans
(voir
ici). Le confinement va rendre les gens plus pauvres et plus malades que ne le fait le coronavirus.
On devrait agir seulement au niveau des personnes fragilisées et âgées, mais pas mettre en otage
toute une population. C’est à se demander si les ondes électromagnétiques n’endommagent
pas les neurones du cerveau ? Voulons-nous vivre dans un monde aseptisé, sans plus rien de naturel ?
Il est aussi étonnant de constater que, presque du jour au lendemain,
on arrive à confiner
des pays en entier pendant des semaines au niveau mondial, mais que, depuis des dizaines d’années,
l’on n’arrive pas à régler des problèmes
bien plus importants comme les pollutions ou le nucléaire.
Publié
le 3 avril 2020 par LM
En ce moment, quand je sors dans la rue, je n’ai pas peur du coranivirus, mais j’ai peur de tous
ces gens de moins en moins humains, se cachant derrière leurs masque, gants, béton,
téléphone portable, etc. Sous un couvert de fausse salubrité, le masque va dans le sens de la
prolongation de cette volonté de tout bétonner, goudronner, javelliser,
plastifier, de répandre des pesticides sur toute la terre, de domestiquer et détruire la nature, etc.
Notre société se dirige vers toujours plus de déshumanisation,
vers de moins en moins de naturel et de nature. Cela me
semble vraiment fou, tellement que je me demande si la
pollution (ondes électromagnétiques, etc.) n’agit pas sur nos
cerveaux. C’est vrai que le monde fait peur. Il suffit d’évoquer
le nucléaire pour s’en persuader. Mais ce n’est pas en
continuant à agir d’une manière égoïste et à côté de la plaque
que cela va s’arranger.
Voici des passages d’un texte de François Couplan,
spécialiste des plantes sauvages nourricières (le texte
est visible en entier ici) :
« […] faites tout ce que vous pouvez pour améliorer votre immunité
naturelle. […] on oublie, semble-t-il, qu’un organisme doué
d’un système immunitaire en bon état résiste mieux à
l’agression de virus même extrêmement contagieux. Il est
essentiel de le rappeler. Souvenons-nous que nous sommes en
permanence soumis à la présence d’agents infectieux de
toutes sortes et que notre corps a, heureusement, les moyens
d’affronter efficacement la plupart d’entre eux − la meilleure
façon de se soigner ne consiste-t-elle pas à ne pas tomber
malade ? Or, à mon avis, la santé ne tient pas qu’au hasard :
un organisme à qui l’alimentation apportera tous les éléments
dont il a besoin sera très probablement mieux à même de faire
face aux agents pathogènes de notre environnement. Y
compris le coronavirus SARS-CoV-2, responsable de la
pandémie Covid-19 actuelle.
Pourquoi ne le fait-on pas ? Sans doute y a-t-il toutes sortes de
raisons, économiques et culturelles qui font préférer le
développement d’un vaccin à celui de notre propre système
immunitaire. Cela mérite d’être exploré. Peut-être aussi parce
que nous sommes dans l’urgence et que l’amélioration de son
immunité est un processus relativement long − mais nous
devons dès à présent penser au futur tout comme au
quotidien. Je soupçonne aussi que notre mentalité belliciste y
est pour quelque chose: “Nous sommes en guerre…” et nous
vaincrons ce méchant virus ! J’explique dans mon livre (p. 140
sqq.) d’où provient cette mentalité et quelles en sont les
conséquences.
[…] Donc, que faire ? Céder à la psychose ambiante qui risque
de se développer jusqu’à devenir panique, voire pis encore ? Il
y a mieux à faire. Je pense qu’il faut bien comprendre les
mécanismes par lesquels nous sommes arrivés dans la
situation actuelle − et là je ne parle pas que de l’épidémie qui
nous submerge, mais de tous nos maux civilisationnels −, sans
y voir d’intention. Comprendre est essentiel, car nous sommes
des êtres de raison tout autant que d’émotion et il importe
d’équilibrer ces deux aspects − or je vois aujourd’hui les
émotions l’emporter de loin sur la raison… […] »
Publié
le 6 avril 2020 par LM
Le coranavirus est vraiment l’arbre qui cache la forêt de la pollution. On veut que l’on agisse
contre ce virus, mais en même temps on ne souhaite pas arrêter de polluer, jusqu’à mettre
toute l’espèce humaine en danger. Nous avons créé au-dessus de nos têtes un rocher
de Tantale, une menace constante qui a véritablement commencé avec le début de
l’ère nucléaire. La situation est vraiment grave et l’action est nécessaire
très rapidement. Le coranivirus nous montre que nous pouvons agir vite et de façon radicale, et que
la société n’a pas peur de sacrifier son économie pour cela, comme elle le fait en
ce moment de manière idiote avec le coronavirus. Alors qu’attendons-nous pour réagir contre le
nucléaire et les pollutions de toutes sortes qui mettent en danger l’espèce humaine et
beaucoup d’autres espèces infiniment davantage que ne le fait le coranivirus ?
Publié
le 8 avril 2020 par LM
Selon moi, le confinement généralisé pour le coranivirus est une ineptie criminelle.
Ce qui aurait pu se justifier pour une peste ou une grippe espagnole, est incompréhensible ici.
Pourquoi empêcher toute une population de sortir, notamment les jeunes qui, sauf rares exceptions
qui confirment la règle, ne sont pas touchés mortellement par ce virus, et les personnes en bonne
santé qui risquent surtout quelques jours de lit ? Le choix de bloquer toute une économie
et de confiner les gens chez eux de force, dans ce cas, est bien plus préjudiciable pour
l’économie et la santé des citoyens que ne l’est le virus en lui-même.
On va s’en rendre compte dans les mois qui vont venir. Bien sûr, il y a des risques, en particulier
de transmettre le virus à des personnes fragiles ou âgées qui peuvent mourir de cela. Mais
c’est aussi le cas pour la grippe, même s’il existe tout de même un vaccin
(seulement efficace si pris avant et pas à 100 %), et d’autres viroses (infections par
un virus). Confinés de force, les citadins se retrouvent noyés dans le béton et le
bitume, la pollution, les ondes électromagnétiques, à manger des produits de moins
en moins frais (les marchés sont fermés), à ne pas pouvoir bouger, se promener
dans les parcs (fermés) ou la nature, etc. On est dans la déshumanisation de la vie
moderne encore repoussée dans son paroxysme terrifiant. La peur, amplifiée par les
médias et les politiques, n’est pas bonne conseillère. Bien sûr, elle permet de ne
pas être téméraire, mais dans le cas de celle orchestrée contre le coranivirus,
elle ne permet pas de prendre la juste mesure de tous les défis auxquels notre société
est confrontée et les solutions possibles. La médecine moderne, ressemble à la politique actuelle,
est une médecine au lance-flamme généralisé.
Une dernière chose pour aujourd’hui : en ce moment, les gens qui travaillent sont surexploités,
alors que les autres sont confinés. Pourquoi n’organise-t-on pas la solidarité ?
Publié
le 12 avril 2020 par LM
Bien sûr, je compatis pour tous ceux qui souffrent ou qui ont peur. Faut-il pour autant condamner la vie et les gens dont
on sait qu’ils ne risquent pas grand-chose face au coronavirus ? Dernièrement, je lisais que l’Ordre
des médecins s’insurgeait contre la reprise progressive de la réouverture des écoles à partir
du 11 mai, parce que les enfants, qui ne risquent pas de conséquences graves face à cette épidémie
(sauf de très rares exceptions), sont « indisciplinés » et qu’ils peuvent ainsi répandre
davantage l’épidémie. Devenons-nous pour autant les condamner, parce qu’ils sont vivants, et les
cloîtrer entre quatre murs, à suivre six heures de cours chaque jour devant un ordinateur ? Ne pouvons-nous
pas être plus fin, et aussi laisser les familles décider, leur laisser le choix ? En Suède par
exemple, les choses se sont faites plus intelligemment, il me semble
(voir ici).
Pour notre soi-disant confort, nous rejetons la vie. Nous bétonnons, bitumons, répandons
des pesticides, javellisons, nous nous réfugions derrière des téléphones
portables pour ne plus communiquer avec l’autre… l’étranger, etc. Pour notre égoïsme,
nous sommes prêts à mettre une épée de Damoclès sur le monde et les
générations à venir avec le nucléaire. Nous constellons notre ciel de
satellites, tellement que depuis la terre aujourd’hui, il est parfois difficile de savoir si
on observe une étoile ou un satellite (voir
cet article
et celui-ci),
et arrêtons d’utiliser les téléphones portables, à force les ondes
électromagnétiques vont agir sur notre système nerveux… si ce n’est pas déjà
le cas… Voulons-nous ne plus voir les étoiles ?
Le Monde, comme la plupart des journaux, nous gratifient d’articles alarmants et parfois trompeurs sur le coranivirus.
Pourtant il y en a un, écrit par le médecin Éric Caumes et l’interne en maladies infectieuses Mathurin
Maillet, qui a attiré positivement mon attention. Il est intitulé Coronavirus :
Gardons-nous
de tomber dans une réactivité maladive, viro-induite, sociale et politique.
Dans celui-ci, on apprend notamment que c’est la réaction de notre organisme face au coranavirus
qui crée les cas les plus sévères : « Les tableaux les plus graves seraient
liés, non pas au virus lui-même, mais à un emballement du système immunitaire
de l’hôte, qui survient le plus souvent vers le septième jour. Il se produit ce que l’on
nomme un « orage cytokinique », c’est-à-dire un envoi massif, par le système
immunitaire, de médiateurs inflammatoires, appelés « cytokines ». »
Enfin, je vais arrêter là, car la réalité que souligne la crise créée
face au coronavirus est en action depuis longtemps.
Publié
le 20 avril 2020 par LM
Dans les semaines et les mois à venir, les politiques et autres décideurs principaux vont mettre
sur le dos du coranivirus l’état sanitaire et économique de la France, alors que c’est
leurs réactions face à celui-ci et la gestion de ce pays auparavant qui en sont les causes…
pas le coronavirus. Pourquoi la France est un des pays les plus touchés par le nombre de morts par habitant
dans le monde ? Pourquoi quasiment toutes ces morts ont lieu à l’hôpital ou en EPHAD ?
Notre système de santé, comme tous les autres systèmes français sont dans un état
dont on n’imagine même pas le délabrement, enfermés que nous sommes dans le mensonge
d’une vie électromagnétisée et un système d’une autocratie nouvelle,
inventé au XXe siècle avec la mondialisation de la société. Mais les systèmes
ne sont pas la priorité : celle-ci étant de donner le pouvoir à des gens de qualité,
et non pas le laisser à des personnes qui l’ont volé ou des imbéciles. Nous ne
réorganiserons pas un pays sans des gens capables véritablement… pas de ceux qui se disent
l’être, mais qui le sont. Quand je dis que tous les systèmes vont être touchés,
je parle aussi bien sûr du patrimoine culturel, surtout qu’en France, celui-ci s’appuie en
grande majorité sur le tourisme, notamment à Paris, devenue une véritable coquille vide
consacrée majoritairement au tourisme de masse (voir mon livre gratuit
Façadismes et architectures RER). Et je le répète, la crise que
nous allons vivre n’a rien à voir avec le coronavirus, mais avec sa gestion et la gestion de
la France depuis des dizaines d’années.
Publié
le 23 avril 2020 par LM
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